En se promenant dans le musée du Petit Palais, Vilardebo est tombé en arrêt devant une cuillère à fard d’une trentaine de centimètres qui représente une figure de femme nue. Patiemment, image après image, il a animé ce visage, lui redonnant après plus de trente siècles, une vie nouvelle. Et au film de devenir un magnifique poème d’amour.