Décembre 2012 : répondant au SOS de sa collègue Mitra Kadivar, le psychanalyste Jacques-Alain Miller tente par échanges de mails de la libérer d’un hôpital psychiatrique à Téhéran.
À partir de cette correspondance saisissante, le film rend compte du combat de Mitra pour être entendue et en propose une interprétation lyrique. Ce travail de création est nourri par celui que mènent les patients d’un centre psychiatrique en France, faisant de Mitra la tragique héroïne d’un ciné-opéra documentaire.