Orléans, le 28 mai 2011. Des détenus chantent à l’intérieur d’une prison ; ni la caméra ni les regards n’y ont accès. De l’autre côté du mur, des personnes écoutent. Emportés par la musique, les visages des auditeurs venus pour l’occasion s’illuminent, et livrent à la caméra autant d’histoires possibles. D’un côté les voix, de l’autre les visages : entre les deux, des émotions se dessinent.