“Vingt petites minutes de la vie d’une famille kazakh vivant avec ses troupeaux dans la steppe, mise en scène sous le double signe du tragique et du burlesque. D’entrée de jeu, on y voit, à l’intérieur d’une masure, un petit enfant assis dans un rai de soleil, qui se gave de lait fermenté jusqu’à l’extase. L’humour et la tendresse de ce premier plan-séquence, qui pourrait être signé des frères Lumière, sont suivis d’une série de vignettes rimant avec lui pour composer un magnifique poème filmé.” Jacques Mandelbaum dans Le Monde, Novembre 2001.