"Ces portraits sont des rencontres que je voudrais garder de l’oubli, ne serait-ce que pendant les quelques minutes où elles sont devant vous. (...) Mon désir est d’archiver le travail manuel féminin. Mon espoir est qu’entre le premier et le dernier portrait, ce soit aussi l’histoire du travail d’un cinéaste. (...) Je ne suis pas un documentariste. Je suis plutôt un amateur de visages, de mains et d’objets : j’aime la générosité de ces femmes qui acceptent que je les filme. Rendre compte de la réalité ne m’attire pas. La réalité n’est qu’un mot (...)" Alain Cavalier.