Un jour, pour construire sa maison, on se met à voler du sable, le sable de la plage. Dans la Médina tout devient pêle-mêle. Les énergies de communication, la convivialité entre habitants sont à la merci du tohu-bohu et de la cohue. Un jour, tout s’effondre. Vivre ensemble dans l’irrespect de la nature et des autres provoque un temps de malheur qui ensevelit tout, efface tout sans laisser de traces.