Partie étudier le cinéma à Bruxelles, Mary Jimenez n’est pas au Pérou quand sa mère y décède. Comment faire le deuil d’une mère à qui on a encore tant de questions à poser ? Véritable mise à nu personnelle, le film joue de différents fils narratifs pour dire la souffrance et la beauté. Au commencement, un texte lumineux, écrit par la cinéaste, et une partition de Tchaïkovski. Et bientôt d’autres souvenirs, des objets, des images, des sons. Des brouillards aussi.